07/06/2020 prédication Charles (avec son)

  LITURGIE DU DIMANCHE 07 JUIN 2020

(par le pasteur Charles Klagba)

 

 

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ACCUEIL :

La grâce et la paix vous sont données de la part de Dieu qui est, qui était et qui vient et de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le ressuscité." Ap1.4/5

Père, tu nous donnes ton Saint-Esprit "car c'est à nous qu'est destinée la promesse, à nos enfants ainsi qu'à tous ceux qui sont au loin,  aussi nombreux que tu les appelleras."

Aujourd'hui dimanche, à nouveau le Seigneur nous rassemble.

Nous sommes venus ici, hommes et femmes, jeunes et vieux, tous avec nos tempéraments, nos richesses et nos faiblesses. Tous différents les uns des autres et pourtant, il y a au moins une chose qui nous réunit : notre foi en Dieu.

L'attente et l'espérance de chacun de nous sont en lui car son Fils Jésus-Christ est notre plus fondamentale espérance.

Dire et prier ensemble notre foi, ce sera notre unité aujourd'hui.

 

LOUANGE

 

Disons maintenant notre reconnaissance à Dieu pour tout ce que nous avons reçu de lui malgré les épreuves qui bousculent notre existence en faisant nôtres les paroles du psalmiste 8

Officiant(e) :

“O Seigneur, notre Dieu, qu’il est grand ton nom par toute la terre.

Jusqu’aux cieux, ta splendeur est chantée par la bouche des enfants, des tout-petits.

A voir le ciel, ouvrage de tes doigts, la lune et les étoiles que tu fixes, qu’est-ce que l’homme pour que tu penses à lui, le fils d’un homme, que tu en prennes souci ?

Tu l’as voulu un peu moindre qu’un dieu, le couronnant de gloire et d’honneur; tu l’établis sur les œuvres de tes mains, tu mets toute chose à ses pieds [les troupeaux de bœufs et de brebis, et même les bêtes sauvages, les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, tout ce qui va son chemin dans les eaux].

O Seigneur, notre Dieu, qu’il est grand ton nom par toute la terre!”

 

CANTIQUE : 277

 

SILENCE

Officiant(e) :

 

CONFESSION DE PECHES

Malgré tout ce que nous avons reçu de Dieu, il reste toujours une douloureuse incohérence en nous même.

Assurés de l'amour de Dieu en Jésus-Christ, reconnaissons notre péché.

 

Nous avons souvent entendu ta parole, nous l’avons peu écoutée. Nous avons beaucoup prêché la liberté, mais nous l’avons peu vécue, et l’oppression gagne partout. Nous avons appelé les autres à la paix, mais nous l’avons peu manifestée et la haine envahit le monde. C’est là notre péché!

Pour n’avoir pas écouté ta parole, pour n’avoir pas vécu en hommes libres, pour n’avoir pas agi en ouvriers de paix, Seigneur, pardonne, Seigneur, aie pitié. En Jésus-Christ. Amen.

 

LE SPONTANE Cantique 405: strophe 1 : « Mon Dieu, mon écoute moi… »

 

DECLARATION ET ACCUEIL DU PARDON

Officiant(e) :

Le salut ne vient pas de notre propre mérite, il est un don de Dieu.

Il ne vient pas de nos œuvres humaines car personne ne saurait se glorifier de ses actes.

C'est par la grâce que nous sommes sauvés, par le moyen de la foi.

 

Que Dieu nous mette au cœur l'assurance de son pardon et qu'Il nous donne de marcher vers son Royaume. Amen !

 

LE SPONTANE Cantique 405 : strophe 2 : « Viens, je te prie… »

VOLONTE DE DIEU

 

Officiant(e) :

Pardonnés et libérés, écoutons ce que Dieu veut pour nous et nous donne la force de faire :

Mes amis, aimons-nous les uns les autres, car l’amour vient de Dieu. Celui qui n’aime pas, ne connaît pas Dieu, car Dieu est amour.

Voici comment Dieu a manifesté son amour pour nous: Il a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous ayons la vie par lui.

Et l’amour consiste en ceci: non pas en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils, pour que, grâce à lui, nos péchés soient pardonnés.

Mes amis, si c’est ainsi que Dieu nous a aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.

Personne n’a jamais vu Dieu. Si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour se manifeste parfaitement en nous.

 

LE SPONTANE : Cantique 405 : strophe 4 : « Toi qui m’appelles dans ton amour… »

 

PRIERE AVANT LA LECTURE DE LA BIBLE

 

Officiant(e) :

Nous ouvrons maintenant la Bible; que l'Esprit-Saint nous fasse entendre la Parole de Dieu pour ce jour.

 

SILENCE

 

Prière d’illumination

Nous te prions, Père du Fils unique, Seigneur de toutes choses, créateur des créatures, auteur de tout ce qui existe. Nos mains, nous les tendons vers toi; et notre esprit, nous l’élevons à toi.

Nous te prions: envoie sur nous ton Esprit saint; donne-nous de comprendre les Ecritures, de les interpréter avec clarté et dignité, pour que ton peuple en retire du fruit. Par ton Fils Jésus, le Christ. Amen.

 

LECTURE BIBLIQUE : Jean 3 : 16-18

 

CANTIQUE : 179

 

PREDICATION

 

Ces trois versets font partie de l’entretien de Jésus avec le docteur de la Loi, Nicodème (Jean 3 : 1-21); plus précisément, ils font partie de la réponse de Jésus à Nicodème qui demande, comment naître de l’Esprit.

Nicodème est impressionné et sans aucun doute bouleversé par l’enseignement de Jésus. Il a voulu absolument le rencontrer. Pour cela, il est venu lui poser toutes ses questions.

Malgré tout son bagage théologique et son statut religieux, il est en recherche. Mais il est venu de nuit, en cachette, pour ne pas être vu en sa compagnie, pour ne pas se compromettre auprès des autres pharisiens.

C’est vrai, Nicodème est venu en cachette, et pourtant, tout laisse penser qu’il a une véritable quête spirituelle et que son questionnement et sa démarche sont sincères.

 

Dans cet entretien Jésus est allé à l’essentiel, il a dit à Nicodème qu’il lui fallait naître d’en haut, qu’il lui fallait naître de l’Esprit Saint.

 

La façon dont de l’Evangéliste Jean nous rapporte cet entretien est très simple pour nous faire entrer dans la compréhension de cette naissance d’en haut, de cette naissance qui est l’œuvre du Saint-Esprit.

Tout cet entretien se déroule dans une atmosphère qui tire Nicodème hors du raisonnement ordinaire, hors du « gros bon sens », pour lui faire entendre des propos qu’il ne peut comprendre et qui laissent ébahit. Il s’agit de quelque chose qui échappe au contrôle et aux exigences de la raison.

 

Naître de l’Esprit?

La question que Nicodème pose n’est pas une question déplacée. Bien au contraire, il va de soi qu’elle soit posée.

L’évangile de Jean ne veut, en aucune façon, taire cette question car elle est fondamentale pour l’authenticité de la foi en Jésus.

 

On peut considérer ces trois versets comme un abrégé de tout l’évangile de Jean.

Les versets 14 et 15 qui les précèdent parlent de l’élévation de Jésus sur la croix qui procure la vie à quiconque croit en lui, tandis que les versets 19 et 20 qui suivent précisent en quoi consiste le fait de refuser Jésus.

 

« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. ». (verset 16).

Dans ce verset 16, le monde que Dieu « a tant aimé », c’est l’ensemble de l’humanité; toute personne est appelée à la vie éternelle dans la foi en celui que Dieu a envoyé.

 

Ce verset, frères et sœurs, est fondateur. Il est souvent cité comme récapitulation de la révélation centrale des Ecritures. Il représente la clé de compréhension, le fondement à partir du quel toutes les Ecritures peuvent être comprises.

Le Dieu de Jésus-Christ, n’est pas un Dieu absent, indifférent. En effet, dans le premier Testament, Dieu fait alliance. Dans la notion d’alliance, nous trouvons l’idée de collaboration entre l’humain et le divin.

L’Evangile complète cette idée en évoquant ce qui la motive : l’amour.

L'ensemble de la vie de Jésus, incluant sa mort scandaleuse, est présentée comme un don de Dieu. On ne fait plus allusion à la méchanceté humaine qui a conduit à la fin abrupte de sa vie. Non. On ne mentionne qu'un don dans l'amour. Et ce don est décrit comme le « fils unique » (littéralement dans le texte grec : « Fils, l'unique engendré ») de Dieu. En d'autres mots, Jésus a cette relation unique avec Dieu, si bien que le voir, c'est aussi voir Dieu : son être est le miroir de Dieu. On présente la vie de Jésus comme un don provenant de l'amour de Dieu, et cet amour s'est poursuivi à travers la vie de Jésus, un amour qui a été vécu concrètement à travers la vie de Jésus L'amour apparaît comme une réalité qui se transmet de père en fils, comme une réalité vivante qui se communique, un amour qui se poursuit et traverse le monde, qu'on appelle Esprit.

Alors on n'est pas totalement surpris de lire la finale du texte : la personne qui accueille le Fils, accueille la même réalité vivante, « une vie sans fin ». Car amour et vie sont synonymes. L’amour de Dieu est la source de vie. Si condamnation il y a, cela n’est pas dû à Dieu ni à son fils qu’il a donné au monde, mais au refus de croire en lui (Jean 3 : 18)

 

En réalité, frères et sœurs, dans cette déclaration de Jésus à Nicodème, il n’y a pas grand-chose à expliquer. C’est une parole à recevoir, à croire, à se l’approprier, à adorer…

C'est ici qu'on peut parler de l'accueil dans la foi : notre décision de croire consiste à accepter notre situation et d'y voir une source d'amour et de vie. Et nous ne pouvons prendre cette décision si nous ne percevons pas nous-mêmes comme des êtres pleins d'amour et de vie.

Oui, ce monde, qui réservait à Jésus l’accueil le plus haineux, le plus meurtrier, a été aimé de Dieu au point qu’il a donné son Fils, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais ait la vie éternelle. C’est l’amour pur, celui de Dieu qui est, dans son essence, amour.

 

Frères et sœurs, ce temps de Pentecôte et ce dimanche de la Trinité viennent nous rappeler que le don de l’Esprit nous est alors précieux pour entrer dans ce dynamisme de l’amour du Père.

L’Esprit nous permet de communier aujourd’hui au Christ Jésus, seul médiateur vers le Père. Car, seul le Fils s’est incarné, se faisant l’un d’entre nous. Notre vie intérieure se nourrit de ce mouvement entre le Père, le Fils et l’Esprit, de ce « Dieu tendre et miséricordieux, lent à colère, plein d’amour et de vérité », selon la révélation faite à Moïse.

En donnant son Fils, Dieu accorde désormais à l’humanité une liberté parfaite. Cet acte ultime ne s’adresse plus à un peuple particulier, mais à tout être humain. Dieu ne fait pas de discrimination. Ce salut est indépendant de sa condition : il s’adresse aux riches et aux pauvres, aux jeunes et aux vieux, à ceux qui sont en position domination et à ceux qui sont en position de faiblesse.

Nous sommes frappés par la facilité du moyen qui permet d’y parvenir : tout être qui croit en lui ne périra pas, mais il obtiendra la vie éternelle. Ce moyen, c’est la foi, un moyen extrêmement simple, à la portée de tous et de toutes.

 

Il est à noter que pour l’évangile de Jean, l’offre de salut n’est pas une obligation. Une offre, ça peut s’accepter, mais ça peut aussi se refuser. La seule condition de l’acceptation de cette offre est de croire Dieu. Elle passe par la croyance, ou la foi.

Mais il faut néanmoins se rappeler que, dans la Bible, avoir foi implique davantage que croire.

Le verbe grec généralement traduit par « croire » a une signification plus profonde que le simple acquiescement intellectuel à un fait. Il signifie « adhérer à », « mettre sa confiance ».

Pour répondre à l’offre d’amour de Dieu et obtenir son approbation, il ne suffit donc pas d’accepter intellectuellement que Jésus est le Sauveur. C’est une certaine attitude à l'égard de Dieu, un acte de confiance en l'éternel amour de Dieu, et cela c'est la foi.

Oui, ce moyen mis à la disposition de l’être humain est de la plus grande simplicité. Et cette foi, cette confiance qui n’attend pas de preuves, elle ouvre sur l’infini : elle ouvre sur une vie de liberté sans fin. Oui, la foi est au fondement de tout. C’est la foi qui reconnaît en Jésus-Christ celui qui révèle le Père. Ce don de Dieu, le don de son Fils, nous pouvons seulement le recevoir. C’est pour cela que la foi est le seul moyen mis à notre disposition : seule la foi nous permet de nous placer dans une attitude d’accueil. Nous entrons alors dans un processus d’échange : l’un donne, l’autre reçoit.

Le croyant doit aussi s’engager à adhérer à l’enseignement de Jésus et le vivre. C’est à l’action que la foi en Jésus le Christ se vit et se raconte.

En nous ouvrant à cet amour qui est déjà là au fond de nous, nous participons de la même vie de Dieu en Jésus le Christ. Car croire, est avant tout accueil de la réalité présente, abandon à ce qui nous habite, accepter ce que nous sommes vraiment, des enfants nés de l’Esprit.

La vie éternelle n’est pas seulement une vie qui dure éternellement; elle est la vie par laquelle il est possible d’être parfaitement heureux dans ce monde par la connaissance du Père révélé dans le Fils.

 

Frères et sœurs, Dieu veut que nous soyons heureux..

Cela dit, notre joie doit être une joie qui a des bonnes bases, elle doit être l'expression de la paix intérieure, d'une vie qui a un sens. Sinon, la joie deviendrait superficielle et illusoire.

 

« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. ».

 

Rien de plus clair et rien de plus simple. Tout ce que Dieu demande de l’être humain, c’est qu’il croie en son Fils.

 

La vraie joie qui remplit alors notre vie n'est pas le résultat de nos efforts personnels : elle ne vient pas de nous, c'est un don de Dieu, nous sommes son œuvre (Col 1,11).

 

«Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui», nous dit le verset 17. C’est là l’intention de Dieu.

 

Frères et sœurs, l’amour de Dieu pour chacun, chacune de nous procède d’un don, le don de son Fils que Dieu a fait à l’humanité et que nous avons juste à recevoir. Accueillons donc le don de Dieu pour nous et ainsi à Dieu sera toute la gloire.

Laissons Dieu nous aimer et aimons-le en retour, et notre joie sera grande dans notre vie, même traversée par d’inévitables tempêtes.

 

L’offre d’amour de Dieu est une offre magnifique qui se renouvelle chaque matin. A nous d’entendre son appel et nous tourner résolument vers lui qui est Lumière. Amen !

 

SILENCE PUIS MOMENT MUSICAL :

 

CONFESSION DE FOI  (Debout)

Officiant(e) :

Eclairés et rassemblés par la Parole de Dieu, nous affirmons notre foi: (veuillez vous lever)

 

Il n'y a qu'un seul Corps et un seul Esprit, comme il n'y a qu'une espérance selon l'appel que vous avez reçu.

Ensemble, dans cet Esprit et dans cette espérance, nous confessons un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu, Père de tous,

qui est au-dessus de tous, par tous et en tous.

Amen.

 

SPONTANE 822 : Louange à Dieu….

 

CENE

Introduction à la Sainte Cène

Mes frères, mes sœurs, nous allons maintenant célébrer la Cène.

Ce repas spirituel nous met face au Christ qui à la veille de sa mort nous a demandé cette commémoration.

Mais ce repas nous permet aussi d'être comme les disciples dans une attitude de partage et d'attente.

Nous invitons à cette communion tous ceux qui se sentent animés d'une foi profonde et joyeuse.

Mais nous invitons aussi tous ceux que l'épreuve a brisés, et tous ceux aussi qui luttent dans le secret contre eux-mêmes.

 

Tous ensemble, nous proclamerons par ce geste que "ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur. Ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus Christ".

 

Préface

Béni sois-tu pour ce monde que tu as fait si beau, que tu gardes, à travers ses douleurs, dans la promesse qu’il devienne ton Royaume.

Béni sois-tu pour Jésus-Christ, ton Fils, qui est né de notre chair, qui a partagé notre vie, transformé notre mort et nous fait partager sa vie. Béni sois-tu pour la vie que tu nous donnes à vivre les uns avec les autres et tous ensemble avec toi. Béni sois-tu pour ce pain et ce vin, annonce et promesse de joie, d’être un jour auprès de toi; pour ce repas où nous sommes unis dans ton amour.

 

Prière introductive

Maintenant, Seigneur, tout est entre tes mains. Nous avons préparé la table. Viens toi-même la présider.

Voici nos cœurs mal préparés, nos repentirs insuffisants, notre foi si peu active. Donne-nous dans ce repas, ta libération, ta présence et ta paix.

Veuille, par l’action de ton Esprit, nous donner communion avec le corps et le sang de ton Fils Jésus, le Christ. Et comme la nourriture fortifie notre corps, comme le vin réjouit notre esprit, que ce pain nous donne la force qui vient de toi, et ce vin la joie que tu veux pour nous.

Que ce repas nous annonce le royaume que tu nous charges de proclamer. Amen.

 

Institution

"Ceci est mon corps"

a dit le Seigneur en partageant le pain.

Dans ce pain, nous trouvons le signe de la mort de Jésus:

Il s'est donné pour tous; dans ce pain, nous trouvons le signe de la vie qu'il nous offre.

 

"Ceci est mon sang"

a encore dit le Seigneur en élevant la coupe.

Dans cette coupe, nous trouvons le signe de la souffrance de Jésus:

il est resté seul à Gethsémané; dans cette coupe, nous trouvons aussi le signe de la joie qu'il nous donne. Il est ressuscité!

 

Invitation à la cène

“Voici, dit le Seigneur, je me tiens à la porte, et je frappe! Si quelqu’un entend ma voix et m’ouvre la porte, je prendrai la Cène avec lui, et lui avec moi.”

Que tous ceux qui reconnaissent sa voix lui “ouvrent la porte”, viennent communier avec lui, et les uns avec les autres, pour former un seul corps.

 

Le Maître vous appelle. Venez prendre la Cène avec lui.

 

Fraction

Le pain que nous rompons est la communion au corps de notre Seigneur Jésus-Christ, qui a été donné pour nous.

 

La coupe de bénédiction pour laquelle nous rendons grâces  est la communion au sang de notre Seigneur Jésus-Christ, qui a été répandu pour nous.

 

(Partage des éléments)

 

ACTION DE GRACE : (après la Cène)

Nous te remercions, Père, pour le repas que nous avons pris ensemble.

Accorde-nous de vivre de cette nourriture, de te célébrer toujours avec joie et d'être ainsi témoins de Jésus-Christ. Amen !

 

PRIERE D’INTERCESSION

Unis les uns aux autres dans ton amour, nous intercédons maintenant les uns pour les autres.

 

Nous te prions, Seigneur: pour tous ceux qui souffrent; pour les victimes de la guerre et de l’injustice des hommes; pour ceux qui ont faim ou froid; pour ceux qui pleurent et qui ne trouvent pas la consolation; pour ceux dont la conscience est chargée et qui ne trouvent pas la libération; pour ceux qui te cherchent, peut-être sans savoir ton nom et qui ne t’ont pas encore trouvé; pour tous les êtres qui nous sont chers et que nous te nommons dans le secret de nos cœurs.

 

A tous donne la paix, la paix de ceux dont le cœur, enfin, peut se reposer en toi, et accorde-nous d’être auprès d’eux les témoins de ton amour.

 

O Dieu de lumière et de vie, de tout notre cœur et d'un seul élan, dans la communion de l'Eglise universelle, nous t'adressons la prière que le Christ Sauveur et Seigneur nous a confiée:

 

NOTRE PERE Officiant(e) et Assemblée :

Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ; pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. E ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du mal, car c’est à toi qu’appartiennent le règne, la puissance et la gloire, aux siècles des siècles. Amen.

 

CANTIQUE FINAL: 419

 

Exhortation et Bénédiction

Ainsi, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez unis à lui; soyez enracinés et fondés en lui, affermis par la foi et débordants de reconnaissance.

Dieu vous bénit et vous garde.

Il vous accorde sa grâce.

Il tourne sa face vers vous et vous donne la paix.

Amen !

CHANT SPONTANE 179 : « Dieu a tant aimé le monde ….. »